“On pensait aller en demi-finale. Finalement, on a juste pris une leçon de karma.”
L’OL a mené. L’OL a dominé. L’OL a rêvé.
Puis l’OL a paniqué, reculé, glissé, tremblé, et finalement… s’est effondré.
Dans un quart de finale digne d’une tragédie grecque, les Lyonnais avaient pourtant tout en main : 4-2, prolongations, supériorité numérique, ambiance de feu, et un Perri qui faisait des arrêts de handballeur possédé.
Mais… en 15 minutes de flottement défensif, ils ont détruit 120 minutes d’effort, 3 mois de rêve, et 84 espoirs rhodaniens.
La Ligue Europa est sans pitié. Comme Maguire.
- 4-2 à la 104e minute.
- Rouge pour United.
- L’OL à 11 contre 10.
“Tout le monde pensait que c’était fini. Même le gars de Canal a commencé à parler de la demi-finale contre Bilbao.” – un commentateur choqué
Mais non.
Manchester United a dit : “Pas si vite.”
En 10 minutes :
- Fernandes marque,
- Mainoo égalise,
- Et Maguire crucifie tout le Rhône.
Les Lyonnais ? Paralysés.
Leur défense ? En état de méditation.
Le banc ? En train de googler “Que faire après une humiliation européenne ?”
L’OL, passé de héros à zéro… mais avec classe
“On était bien. Trop bien. Peut-être trop confiants. Ou trop fatigués. Ou trop lyonnais.” – un joueur anonyme
Même le community manager du club a posté un tweet sobre :
“…”
Bilbao attend United. L’OL, lui, attend la fin de la honte.
Retour à Lyon avec :
- Des valises pleines de regrets,
- Une défense en miette,
- Et un coach qui a visiblement débranché la manette en prolongation.
Conclusion : Le football, c’est cruel. Mais l’OL, c’est au-delà.
Tu mènes 4-2 en Ligue Europa.
Tu joues à 11 contre 10.
Et tu sors du tournoi comme si t’avais mis un CSC au golden goal.
La VAR Off valide : l’OL est officiellement l’inventeur du “break auto-détruit” européen.
À l’année prochaine (en Coupe de France ?).